Chroniques

La différence ne s’apparente pas nécessairement à un handicap à condition de l’apprivoiser au point d’en faire une force. Ce à quoi s’est employé Olivier Liron qui signe ici un livre puissant !

Vingt-trois après les faits, un jeune homme reconnaît soudainement la voix de celui qui l’a violé… Un électrochoc et une parole qui se libère, enfin. Le livre le plus déstabilisant que j’ai lu en 2018.

Un livre définitivement féministe dressant le portrait assez réaliste de femmes de 40 ans figées dans un modèle de société patriarcale qui  prennent leur désir et leur vie en mains !

Comment faire le deuil de proches disparus pendant la guerre et dont la seule trace restante est une lettre officielle de l’armée annonçant leur décès ? Un premier roman enthousiasmant à la plume tenue et le 11 novembre qu’on ne verra plus jamais de la même manière !

Dire que j’ai aimé ce livre est bien faible au regard de toutes les émotions ressenties à sa lecture ! Une pépite littéraire à découvrir pour son style et pour l’universalité des thèmes qu’il aborde : le deuil, la mémoire, la filiation, la résilience. Et l’addiction. 

Un premier roman fort au style incisif portant une histoire dérangeante. Intéressant mais loin d’être enthousiasmant à mes yeux.

Un livre court et dense centré sur les rapports qu’entretiennent les hommes lorsqu’ils sont de culture ou de générations différentes. Une écriture à découvrir si vous ne l’avez pas encore lue !

Mathieu Menegaux excelle à observer et décrypter la manière dont un drame se met en place sans qu’aucun garde-fou ne vienne arrêter l’emballement d’une folle machine : redoutable !

Un roman court et intense, au rythme des vagues agitées de l’Atlantique, des thèmes forts abordés avec …

« La nouvelle voix du roman d’amour français » peut-on lire sur la quatrième de couverture… Une promesse…

Connaissez-vous le « death effect » selon lequel lorsqu’un artiste meurt de façon inattendue, le prix de ses œuvres augmente alors brutalement ? Mais qu’en est-il réellement de cet effet lorsque les toiles dont la cote s’envole représentent des visages torturés et plutôt laids ?

Une écriture soignée qui vous accroche d’emblée. Une histoire que je n’ai pu lâcher avant d’avoir tourné la dernière page.

On ressort de cette lecture émus, touchés par des personnages très attachants, et avec un sentiment de bien-être que l’on n’aurait pas soupçonné en abordant cette lecture !

« Fluctuat net mergitur » (il est battu par les flots mais ne sombre pas) : la devise latine de Paris qui pourrait bien être celle de la famille Malegarde…

Une histoire des plus surprenantes mais, surtout, une écriture qui m’a enthousiasmée à plus d’un titre…

Coup de cœur pour ce roman riche en émotions aux personnages insolites et attachants ! Un hymne à la nature, aux choses simples et essentielles, au temps qui passe, à la recherche d’une harmonie teintée de cannelle, de vanille, de poudre d’amandes et de fleur d’oranger.

« L’arbre suit la racine » selon un proverbe berbère qui irradie tout ce livre. Ainsi, tout serait écrit dès notre venue au monde… Mais

« Rien n’est sérieux en ce bas monde que le rire » aurait dit Flaubert… une certitude à la lecture de ce magnifique premier roman où la fantaisie est faite mode de vie.

Si vous êtes en mode cocooning aujourd’hui, rien de tel pour commencer cette journée que ce livre de Carole Cerruti, un pur feel good !

Amateur de rock depuis toujours, Erwan Larher avait décidé d’assister au concert des Eagles of Death Metal. Confortablement installé dans la salle, il avait commencé à savourer le moment, jusqu’aux premiers tirs. C’était le 13 novembre 2015, au Bataclan.